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10 mars 2009 2 10 /03 /mars /2009 11:44

Depuis novembre 2008, je participe à un nouveau magazine féminin consacré aux tendances venues d’Asie et en particulier du Japon.

 

Le Japon est entré dans mon cœur depuis l’enfance par l’intermédiaire des dessins animés qui m’ont conduits à chercher à en savoir plus sur cette culture exotique, à la fois proche de la notre mais aussi très éloignée.

Je collectionne les livres d’art et d’histoire sur ce pays et je rêve d’y étudier la céramique. Particulièrement attirante par ses formes irrégulières et ses couvertes surprenantes.

J’admire tout autant l’aspect traditionnel des arts que la modernité fun et kawaî (mignon) en vogue parmi les jeunes. Les manga, d’ailleurs, m’amusent par leurs histoires dynamiques, tout autant qu’ils m’inspirent par leur graphisme et leur mise en page souvent très étudiés.

 

Dans le Japan LifeStyle, je suis en charge des pages « créatives ». L’espace qui m’est réservé étant limité, je vais tâcher de profiter de ce blog pour proposer des modèles alternatifs, ou pour m’étendre plus confortablement sur le sujet abordé.

 

A suivre donc dans mon prochain post sur la broderie japonaise sashiko.

 

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9 mars 2009 1 09 /03 /mars /2009 11:01

Pour essayer la technique du crochet tunisien (expliquée dans le précédent post) lorsque l’on ne possède que des crochets classiques, voici comment faire un miniberlingo.

On peut les monter en porte-clés à distribuer à tous ses amis, ou en guirlande décorative à accrocher en bordure de rideau. Voire même, se lancer, dès à présent, dans la confection de décorations de Noël pour un sapin « douillet ». Cela laisse le temps, jusqu’à la fin d’année prochaine d’en faire par-ci par-là avec des chutes de pelote.

 

Montez une chaînette de 10 mailles en l'air (+ 2) ce qui correspond au premier rang, puis continuez en points tunisiens sur 30 rangs. Ce qui fait un total de 31 rangs.

 

Assemblez, sur l’envers, l’ouvrage en tube, à l’aide d’une aiguille à laine, en cousant les largeurs entre-elles (B + B’) :

Pour cela, utilisez la laine correspondant au dernier rang, en faisant de grands points réguliers afin de simuler le motif général sur l'endroit, ce qui masquera la couture.


Puis refermez le tube en cousant l’une des deux longueurs (A) sur elle-même, comme pour un petit sac.

Avant de le retourner sur l'endroit :


Rembourrez le sac de fibre polyester.

Refermez le berlingo en cousant la dernière longueur (A’) sur elle-même en centrant la couture AA’. Cette nouvelle couture est donc perpendiculaire à la précédente :

 

Voilà, votre minicoussin achevé !

 

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8 mars 2009 7 08 /03 /mars /2009 00:01

Il y a plus d’un an, sur un salon de loisirs créatifs, Cendrine Armani présentait son livre sur le crochet tunisien (Ed. Didier Carpentier), ainsi que les objets qu’elle avait réalisés pour l’occasion. Emballée par la texture et les motifs originaux de cette technique, je me suis aussitôt mise à l’ouvrage. Je vous recommande son livre pour ses modèles à la fois sobres et colorés. Il s’agit principalement de coussins et autres objets décoratifs pour la maison.

 


La technique utilise un crochet particulier qui n’est pas toujours facile à dénicher. Il est aussi long qu’une aiguille à tricoter, et possède, comme-elle, une extrémité « fermée » pour retenir les mailles.

Avant de débuter, il faut aussi savoir qu’elle consomme une importante quantité de laine, tout en donnant, en contrepartie, une belle épaisseur à l’ouvrage, particulièrement appréciable pour faire des coussins denses, par exemple de petits traversins, ou des « galettes » de chaise. Je vous conseille donc d’utiliser des laines peu onéreuses et basiques, mais avec des couleurs contrastées pour bien mettre en valeur les points.

 

Ceux-ci ne demandent pas de grande connaissance, mais l’ouvrage avance relativement lentement.

 

Pour obtenir un effet maximum, la technique se travaille avec des couleurs de laines différentes.

Les explications qui vont suivre se font avec 2 couleurs alternées. On travaille, pour chacune suivant un aller-retour (rangs 1 et 2 = coul. 1, rangs 3 et 4 = coul. 2, rangs 5 et 6 = coul. 1, etc.).

 

Pour ajouter des effets, on peut très bien utiliser la même couleur sur plusieurs rangs (rayure unie épaisse), ou bien choisir d’introduire une nouvelle couleur au moment du rang « retour », que l’on utilise aussi pour « l’aller » suivant. Voire même, pour les plus audacieux, de changer à chaque rang de couleurs !

 

POUR DEBUTER

RANG 1 : Réalisez une chaînette de mailles en l'air ml (explications ici).

 

RANG 2 : Puis, piquez le crochet dans la troisième maille en partant de celui-ci. Faites un jeté, et passez le fil à travers la maille. On obtient deux mailles sur le crochet :




Procédez de même jusqu’à la fin de la chaînette. (Le crochet est recouvert de mailles comme une aiguille de tricot.) :

CHANGEMENT DE COULEUR

RANG 3 : Faites un jeté avec la nouvelle couleur, et passez le fil à travers la première maille du crochet.

Refaites un jeté, et passez le fil à travers les deux premières mailles du crochet :



Procédez de même jusqu’à la fin du rang. Les mailles « tombent » au fur et à mesure du crochet pour n’en conserver qu’une :


RANG 4 : Piquez le crochet dans la première maille du rang 2 (première couleur). Faites un jeté et passez le fil à travers la maille. On obtient, à nouveau, deux mailles sur le crochet :




Continuez ainsi jusqu’à la fin du rang :


RANG 5 :
Reprenez les explications du rang 3 mais avec la première couleur :

 

Et ainsi de suite, jusqu’à la fin de l’ouvrage, que vous arrêtez avec une ml avant de couper les fils, après un dernier rang « aller».






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6 mars 2009 5 06 /03 /mars /2009 12:09

Si vous voulez vous essayer au crochet en appliquant d’une manière ludique l’utilisation de la maille serrée (ms, expliquée ici), je vous propose un exercice qui ne me lasse jamais : le minicoussin berlingo !


Il suffit simplement de réaliser un rectangle en crochet deux fois plus long que large. Puis de l’assembler en tube, avant de coudre les ouvertures perpendiculairement l’une par rapport à l’autre. Il est conseillé de fabriquer une housse identique en tissu pour maintenir la bourre polyester en place, mais je n’ai jamais pris cette peine et le rembourrage ne s’est pas échappé des coussins pour autant.



Voici comment procéder à l’assemblage du berlingo en images ici. (Les photos concernent l’utilisation du crochet tunisien.)

 

Comme la ms est le point de crochet le plus simple, il permet d’utiliser des fils fantaisie, chinés ou poilus, à foison. Selon l’inspiration, il suffit d’alterner les rangs de laines différentes pour former des rayures de différentes largeurs, d’une manière aléatoire.

Il faut juste faire attention à bien compter ses mailles lorsqu’on emploie une laine à longs poils, car il est très facile d'en sauter une, ce qui aurait pour conséquence de rapidement transformer le rectangle en trapèze !

 

En calculant bien le nombre de rangs, on peut obtenir des raccords parfaits, comme sur ce coussin vert.


 

Pour ceux qui maîtrisent tous les points de crochet, Le résultat est très beau, lorsque l’on varie les motifs complexes en utilisant une seule laine. J’adore, alors, travailler en fil de coton dans une nuance claire (écru, beige, anis ou gris bleu).


 

Si la perspective de saisir un crochet vous démoralise, mais que vous craquez pour ces coussins rigolos, vous pouvez m’en commander un à vos couleurs, en me contactant par mail à agrafeetfanfreluches@gmail.com.

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6 mars 2009 5 06 /03 /mars /2009 11:33

Le point de base du crochet est la maille serrée (ms), symbolisée par X.

Il permet de réaliser de nombreuses créations sympathique, alors que sa gestuelle est on ne peut plus simple.


 

À partir de la chaînette de mailles en l'air (ml) expliquée dans le post précédent, il faut piquer le crochet dans la troisième maille à partir du crochet (ml n° 1 = celle autour du crochet, ml n° 2 = celle qui est accrochée à la ml n° 1, ml n° 3 = celle qui est accrochée à la ml n° 2).


Puis, on réalise un jeté (= saisir le fil de la pelote), que l’on passe à travers la ml n° 3, pour obtenir 2 mailles sur le crochet :


On réalise ensuite un second jeté, que l’on passe à travers les 2 mailles du crochet.

Voilà la première maille serrée :





Pour continuer, il suffit de piquer le crochet dans la maille suivante (donc ml n° 4), et de recommencer les étapes ci-dessus, jusqu’à la fin du rang / de la chaînette :



 


SECOND RANG

Pour poursuivre l’ouvrage, il faut le retourner. L’enchaînement des mailles se fait comme au tricot, en rang recto puis verso.

Le travail du crochet en bande est totalement réversible, ce qui n’est pas le cas du travail en rond, que j’expliquerais ultérieurement.



Pour « monter » d’un rang à l’autre, on débute toujours par une ou plusieurs mailles en l'air (ml). Pour la maille serrée, il n’en faut qu’une, pour la bride ce sera 3…

Donc, réalisez 1 ml.


Puis, piquez le crochet dans la ms suivante. Attention à bien le passer à travers les 2 brins de cette maille.

(On peut choisir de ne passer que dans le brin avant ou le brin arrière pour obtenir un motif différent à chaque rang.)

Faites votre ms comme précédemment, et continuez ainsi de suite jusqu’à la fin du rang :



Puis de votre ouvrage :


 

POUR ARRÊTER LE TRAVAIL, il suffit de faire une dernière ml, de l’étirer sur une longueur suffisante, et de couper le fil.

 


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4 mars 2009 3 04 /03 /mars /2009 15:21

Un autre de mes plaisirs est de travailler la laine.

Je suis très lente au tricot, mais je m’amuse à réaliser de petits accessoires simples mariant laines originales (pratiques pour masquer les mailles distendues) et points fantaisie (qui permettent eux-aussi de tricher !).

Le problème tient principalement au fait qu’il faut travailler dans le calme, afin de pouvoir atteindre la fin de son rang sans être interrompu par une marmaille exigeante, ce qui laisse toujours un « trou » disgracieux…

 

Pour éviter ces impondérables, j’ai davantage opté pour le crochet qui permet de s’arrêter à tout instant sans grande conséquence.


Bien consciente que ce qui va suivre est facilement disponible sur le net, j’en remets toutefois une couche.

 

Voici, en quelques images, les points de base avec force détails.

Je me rappelle mes souffrances de débutante la première fois où j’ai ouvert un livre de crochet, alors que je tentais de comprendre les gestes décrits. De nombreux hiatus, évidents pour l’habituée, mais inconcevables pour la rookie que j’étais, m’avaient beaucoup déroutée.

Si vous ne comprenez rien à mes explications, confiez-moi vos doléances, et je ferais tout pour rendre l’ensemble plus clair, après m’être flagellée consciencieusement !

 

AU COMMENCEMENT ? IL Y AVAIT …

La première maille, jamais comptabilisée, ou nœud coulant :

Il suffit de faire une boucle, de passer le crochet à l’intérieur, puis de saisir le fil relié à la pelote, et de le faire passer à travers la boucle.

 

 

Puis, la maille chaînette, ou maille en l'air (ml), symbolisée par : o.

À partir de la boucle du nœud coulant, il faut saisir le fil de la pelote avec le crochet – geste appelé « faire un jeté » -, puis le faire passer à travers la boucle.

En répétant l'opération, on obtient la fameuse chaînette, base de quasiment tous les ouvrages en crochet :

 


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3 mars 2009 2 03 /03 /mars /2009 13:37
En 2007 et 2008, j’ai eu l’occasion d’animer un atelier de loisirs créatifs au sein d’une association de ma commune : La Milonga (www.lamilonga.fr). Petit à petit, je vous ferais partager les différents ateliers que j’ai proposés.

L’un d’eux a été particulièrement apprécié. Il demande beaucoup de patience, mais le résultat est gratifiant.



Pour réaliser ma guirlande lumineuse, il vous faut :
• Du grillage cage-à-poule
• Du fil de fer fin facile à tordre
(par exemple pour faire des bijoux)
• Une pince « bec d’oiseau »
• Une balle en caoutchouc d’environ 4 cm de diamètre.
• Du papier « soie de paille » fin et fibreux
qui ne déteint pas, de couleurs plutôt claires et assorties
• De la colle pour serviette en papier
• Un pinceau brosse
pas cher (il va être torturé ! Attention d’ailleurs à bien le laver à l’eau savonneuse après chaque utilisation)
• Une guirlande électrique de 10 lampes
(20 pour les plus courageux !)

J’ai l’habitude de me fournir chez www.opitec.fr, les guirlandes n’y sont pas trop chères et ont l’avantage de proposer des fils colorés.
Le grillage vient de Castorama.

 
PREMIÈRE ÉTAPE : DÉCOUPAGE
Attention, elle est source d’erreur et donc de gâchis !
  • À l’aide de la pince coupante, découpez des bandes dans toute la largeur du rouleau de grillage en le dépliant au fur et à mesure. En vous aidant des photos, découpez-les afin de préserver 3 alvéoles (hexagones) complètes (ABC sur la photo).




  • Scindez les bandes en tronçons de 9 alvéoles complètes, comme sur les photos (n°1 à 9). Afin d’obtenir 10 tronçons au total. Si votre balle est plus grosse, il suffit juste d’ajouter des alvéoles supplémentaires pour chacun.
  • Pour chaque tronçon, torsadez les fils de fer libres (de la base de la corole) sur eux-mêmes.

DEUXIÈME ÉTAPE : MISE EN FORME
  • À l’aide du fil de fer, assemblez les tronçons en tubes, comme si vous « cousiez » uniquement les 2 premières alvéoles depuis l’extérieur de la corole (A et A', B et B' sur la photo).
  • Glissez la balle à l’intérieur du tube, et formez la corole en rapprochant les unes des autres les pointes torsadées de la base. Formez ainsi un petit tube de la taille d’une ampoule de la guirlande. Puis positionnez perpendiculairement à ce dernier les fils torsadés. Il est possible de les replier sur eux-mêmes, ou de les enrouler en spirale, voire de coller une perle à la cyanoacrylate à l’extrémité, après l’étape 3.
  • De l’autre côté, il faut écarter les pointes les unes des autres pour donner à la fleur une forme de clochette. On peut replier les extrémités piquantes pour former de petits arcs, ou les utiliser pour coller des perles après l’étape 3, comme sur la première photo du post.


TROISIÈME ÉTAPE : ENCOLLAGE

  • Découpez, en les déchirant irrégulièrement, de petits morceaux de papier.


  • Encollez-les sur la face externe de l’armature de grillage, avec la colle à serviette, en superposant les fragments. Il faut bien faire pénétrer la colle pour vernir et solidifier le mini abat-jour. Laisser un peu sécher, puis faites de même avec l’intérieur.



QUATRIÈME ÉTAPE : MONTAGE
Une fois sèches, installez les ampoules dans les orifices des coroles, et, au besoin rétrécissez ou élargissez-les à l’aide de la pince bec d’oiseau.
Il n’est pas nécessaire de coller les coroles à la guirlande, un simple ajustage en force suffit. Il permet surtout de ne pas perdre ses longues heures de labeur, le jour où la guirlande ne fonctionne plus !







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2 mars 2009 1 02 /03 /mars /2009 01:14

J’ai eu envie de monter en breloque les mini fleurs du précédent post sur un gros mousqueton pour les accrocher un peu partout.

 

 

En quelques images, voici comment faire une breloque avec des tiges à clou et à œillet disponibles dans les boutiques de matériel pour bijoux.

La pince ne doit pas marquer le métal, ses extrémités doivent être rondes. On en trouve dans les mêmes magasins, mais j’en ai également dénichée une chez Castorama, bien qu’elle soit un peu trop grosse.

Pour réaliser une breloque, il suffit de saisir l’extrémité de la tige et de l’enrouler sur elle-même jusqu’à refermer la boucle. Ensuite, il faut repartir légèrement dans le sens inverse, geste qui permet d’ouvrir le crochet pour faciliter l’accrochage, tout en le centrant pour un aspect plus esthétique. Le plus d'ifficile est d'estimer la bonne longueur de tige à conserver pour faire le crochet. Trop longue, la perle bouge, trop courte, le crochet devient plus fragile et difficile à refermer.


On peut utiliser une pince plate pour refermer le crochet, une fois les pendeloques assemblées.



Les rubans sont maintenus ensemble par une attache plate à écraser, à laquelle est fixé un simple anneau brisé.

 

Je n’ai pas pris le risque de me servir de ces grigris comme porte-clé, car les anneaux des breloques ont peu de chance de supporter un usage intensif, et risquent de se desserrer.



Comme il m’arrive de participer à des marchés de Noël, j’ai remarqué que ces grigris avaient remporté un certain succès.

Si vous n’avez pas le courage de les réaliser vous-même, vous pouvez m’envoyer un e-mail à agrafeetfanfreluches@gmail.com pour m’en commander.

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2 mars 2009 1 02 /03 /mars /2009 00:41

En me promenant sur la toile, aussi bien que sur les marchés de créateurs, j’ai craqué devant les fleurs stylisées réalisées à partir de tissus rembourrés puis « noués ». On peut en faire en laine tricotée, en coton multicolore aussi bien qu’en soie ou en dentelle raffinées.

Il suffit de froncer sur son pourtour un cercle de tissu que l’on rembourre au maximum avant de le refermer comme un petit coussin. Pour lui donner bonne consistance, il ne faut pas hésiter à utiliser du coton hydrophile, bien plus facile à trouver que de la bourre à coussin synthétique. On l’entoure ensuite autant de fois que désiré avec un fil épais (du coton mouliné à broder DMC par exemple) pour former les pétales. Pour l’embellir on peut créer un cœur avec un bouton, une perle ou tout ce que l’on peut imaginer de plus fou.

 

 

Je souhaitais rendre la fleur réversible. Pour ce faire, voici deux solutions.


La première demande de découper deux cercles identiques que l’on coud ensemble, endroit contre endroit, en ménageant une petite ouverture pour retourner l’ouvrage. Il ne faut pas oublier de pratiquer des incisions en triangle tout autour des cercles assemblés afin de faciliter le positionnement de la couture une fois le « coussin » retourné. Rembourrez-le puis refermez l’orifice avec des points invisibles. Il est préférable d’utiliser une machine à coudre pour que les points ne craquent pas sous l’effet du rembourrage. Comme la couture est visible, je préfère utiliser deux tissus différents, mais on peut également la camoufler en brodant sur son pourtour des perles de rocailles.


 



La seconde technique consiste à simplement rebroder un cercle plus petit découpé dans un autre tissu pour masquer la partie froncée.

 

 

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1 mars 2009 7 01 /03 /mars /2009 04:55

 


En ce début d’année morose, c’est un plaisir de plonger dans sa boîte à couture pour se créer des accessoires rapides et uniques. Voici quelques idées de pochettes simples, mais très colorées.


 

 

Sur un rectangle de grosse toile de coton rayée, il suffit de coudre des rubans assortis (transparents et opaques), agrémentés de broderies simples, de perles de rocailles et autres sequins, au gré de son imagination.

Il ne reste plus qu’à refermer le rectangle par 2 coutures et de faire de même avec du tissu de doublure. Après avoir replié l’ouverture et l’avoir simplement repassée pour en marquer le rebord, il faut ajouter une bandoulière, un bouton ainsi qu’une boucle pour l’attacher, avant d’assembler les « tubes » l’un dans l’autre avec de petits points invisibles, et le tour est joué !

 

 



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Tirez La Chevillette...

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