Ce n’est pas encore ça, mais je pense que je tiens le bon bout ! Maintenant que j’ai bien compris le geste et que les crampes ne m’assaillent plus, je peux vous montrer le cœur que je viens d’achever en frivolité à la navette. Il s’agit d’un modèle de Bidouillette. Celle-ci avait eu la gentillesse de m’en faire un magnifique en fil dégradé mauve, si bien que j’avais le modèle sous les yeux. Force est de constater que l’écart séparant le maître de l’élève est encore abyssal !
Ce que vous ne voyez pas c’est que, partie dans mon élan, toute heureuse d’avoir compris sa technique de la pince à doigts, j’ai été obligée de défaire au moins quatre fois ! Et je peux vous dire que ce n’est pas une mince affaire de dénouer ces jolis nœuds bien plus simple à faire…
Mon problème maintenant est de bien négocier les virages pour que les doubles nœuds se rangent joliment : mais je vaincrai… un jour, peut-être…
Sur ces futiles considérations, je vous souhaite un agréable dimanche (sans sac de nœuds) !